Chez Marguerite : le bouillon parisien qui ravive l’esprit populaire de Montmartre
Entre les façades rouges de l’Élysée Montmartre et les néons de la Cigale, le boulevard Marguerite-de-Rochechouart retrouve des airs de vieille carte postale. Au cœur du 18e arrondissement, que Chez Marguerite, bouillon parisien nouvelle génération, redonne ses lettres de noblesse à la cuisine française simple, généreuse et accessible.
Un décor sans chichi, pensé pour se sentir bien
Terrazzo au sol, banquettes en cuir, mobilier rétro chiné : le lieu a beau être simple, il n’a rien de banal.
Chaque détail raconte une histoire et contribue à cette atmosphère chaude et familière que recherchent les habitués du quartier. On s’y installe comme chez soi — que ce soit à midi pour un repas sur le pouce ou le soir pour un dîner avant un spectacle.
Chez Marguerite se veut un lieu de vie. Pas un restaurant à la mode. Pas un spot éphémère. Un bistrot honnête, accueillant, vivant.
La carte : des classiques français à prix imbattables
Dans l’assiette, on retrouve tous les incontournables du bouillon parisien, parfaitement exécutés :
Oeuf mayo – 4 €
Poireau vinaigrette – 6 €
Demi-camembert rôti – 6 €
Et pour les plats :
Coquillettes au jambon, crème de truffe. 15 €
Brioche perdue, caramel au beurre salé — un dessert réconfortant qui fait l’unanimité. 6 €
Le tout avec un rapport qualité-prix difficile à battre dans le quartier : entrées dès 3 €, plats entre 11 et 18 €, desserts autour de 6 €.
À Montmartre, où les additions peuvent vite s’envoler, l’adresse fait figure de bon plan.
Avant ou après un spectacle, l’étape idéale
Grâce à sa situation privilégiée — entre la Cigale et l’Élysée Montmartre — Chez Marguerite attire aussi bien les habitants du quartier que les spectateurs venus assister à un concert. Le service est efficace, chaleureux, jamais guindé. On mange vite si on le souhaite, ou on traîne volontiers autour d’un verre de vin.
Avec son ambiance simple mais soignée, sa cuisine française réconfortante et ses tarifs pensés pour tous, Chez Marguerite réussit un véritable tour de force : remettre le bouillon populaire au goût du jour sans en trahir l’âme.
On y vient pour bien manger, pour ne pas se ruiner, pour sentir vibrer le Paris des bistrots d’antan.
Et on en repart avec l’envie d’y revenir.
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