L’année 2025 marque un tournant vibrant pour Yulia Podzeeva, artiste peintre dont le langage pictural mêle rêve, mémoire et émotion pure. Après une entrée remarquée sur la scène internationale avec des expositions à Gstaad (Suisse) dans le cadre d’ArtGstaad, et à Paris, notamment lors du Bal des Étoiles aux côtés d’autres artistes talentueux, l’année se poursuit avec des projets prometteurs en Asie centrale, avant d’autres escales artistiques encore tenues secrètes.
L’œuvre de Yulia Podzeeva se déploie comme une invitation au voyage — non seulement géographique, mais avant tout intérieur et sensoriel. Depuis sa plus tendre enfance, l’artiste est habitée par le rêve d’horizons lointains, d’océans profonds et de paysages marins baignés de mystère. Elle évoque avec émotion ses premières sources d’inspiration : Jules Verne, Kipling, Caspar David Friedrich, Ivan Aïvazovski, et Claude Monet, dont les œuvres ont éveillé en elle une quête de beauté et de profondeur.
Mais ce sont aussi les abstractions émotionnelles de Pierre Soulages ou l’intensité spirituelle de Mark Rothko qui l’ont poussée à franchir une nouvelle étape dans son art : celle de l’expression brute et sincère de l’âme. Chez Yulia Podzeeva, chaque toile devient un fragment de rêve, une fenêtre sur les sensations les plus profondes, traduites en ciel rouge vif ou en mer d’encre.
« Mon désir de donner vie à mes rêves sur toile me pousse à peindre. »
La peinture s’impose à elle comme un acte libérateur et thérapeutique, une expérience intime qu’elle partage aujourd’hui avec le spectateur. En contemplant ses œuvres, on sent vibrer cette énergie d’exploration intérieure, comme un appel silencieux à la reconnexion avec nos propres émotions.
Pour découvrir l’univers sensible et singulier de Yulia Podzeeva, rendez-vous sur son site officiel et son compte Instagram @pozdeeva_studios, où elle partage régulièrement ses actualités et ses nouvelles créations.
