Le chef étoilé Denis Martin et son épouse Joana reprennent La Belle Vie, un hôtel-restaurant de charme près du Pont du Gard, et lui donnent un nouveau souffle.
Un lieu en Provence, une vision
Installée dans une élégante bâtisse du XIXe siècle entourée d’un parc arboré, La Belle Vie n’est pas une simple réouverture de maison d’hôte. C’est un projet de vie pour le chef étoilé Denis Martin et son épouse Joana, qui ont choisi ce coin paisible du Gard pour incarner une hospitalité nouvelle, à la fois familiale et raffinée. Leur ambition : faire de cette maison un lieu vivant, ouvert, sincère.
Derrière ses volets clairs, l’adresse dévoile onze chambres et suites. Toutes s’ouvrent sur les jardins ou la piscine chauffée, pour un séjour propice à la déconnexion. L’été, les coins d’ombre, les terrasses en pierre et les apéritifs sous les arbres composent un art de vivre délicat.
La table : cuisine de terroir, cuisine d’auteur
Originaire d’Avignon, Denis Martin cuisine simplement, avec des produits locaux et de saison. Chaque plat raconte une histoire.
On y trouve des légumes du jardin, de bonnes viandes, des herbes fraîches et des jus cuisinés simplement. Aux beaux jours, les repas se prennent sur la grande terrasse, à l’ombre des arbres, dans une ambiance détendue et naturelle.
En salle, Joana Martin assure un service fluide et attentionné.
Le parcours d’un chef enraciné
Denis Martin a été formé à l’école hôtelière d’Avignon. Il a parcouru les plus belles maisons du Sud. Aux côtés de Bruno d’Angelis, Fabien Fage et Glenn Viel, il a affiné sa rigueur et son instinct. Il a travaillé à L’Oustau de Baumanière, puis chez Daniel Boulud au Canada. Enfin, il a décroché une étoile comme chef exécutif au Marcel à Sète.
Mais c’est ici, à La Belle Vie, qu’il choisit aujourd’hui de poser ses valises, avec l’envie de construire un lieu à taille humaine, en couple, dans un dialogue constant entre cuisine et accueil.
Une maison de cœur
« On n’a pas cherché à faire un concept », explique Denis Martin. « On a voulu écouter le lieu, respecter ce qu’il représente pour les gens du village, et y déposer ce qu’on est, ensemble. La cuisine, c’est mon langage. L’accueil, c’est celui de Joana. La Belle Vie, c’est nous deux. »
Entre racines locales et choix personnels, La Belle Vie est plus qu’un lieu de passage : c’est une maison simple, sincère et habitée.
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