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bien-être / L'Art de Vivre

Anne Quérard, fondatrice de HOZHO : l’harmonie comme chemin de vie

Rencontre avec Anne Quérard, fondatrice de HOZHO

À 50 ans, Anne Quérard a choisi de réinventer sa trajectoire professionnelle en lançant HOZHO, une marque de soins énergétiques pour la maison. Déjà entrepreneure dès 2003 avec la création de sa propre structure de conseil, elle décide de franchir un cap symbolique : mettre son expérience et sa sensibilité au service d’un projet profondément aligné avec ses valeurs. Inspirée par la sagesse amérindienne et le mot hozho — « harmonie » en navajo —, elle imagine des rituels olfactifs et vibratoires où parfums, bougies et sprays deviennent de véritables alliés du bien-être intérieur.

Pour Anne Quérard, soigner son lieu de vie, c’est aussi prendre soin de soi, un acte à la fois intime, spirituel et universel.

À 50 ans, vous avez décidé de vous lancer dans l’entrepreneuriat avec HOZHO. Quel a été le déclic émotionnel ou spirituel qui vous a poussée à franchir ce cap à ce moment précis de votre vie ?

J’ai toujours eu une âme d’entrepreneuse (création d’une structure conseil déjà en 2003). A l’aube des 50 ans, on a envie d’être alignée avec notre nature profonde, nos envies et notre chemin de vie. Pour moi, c’était de proposer pour la 1ere fois : des « cosmétiques » pour la maison : soigner sa maison pour soigner son âme ! 

HOZHO se définit comme une marque de soins énergétiques pour la maison. Comment expliquez-vous, à quelqu’un de non initié, ce lien invisible mais puissant entre bien-être personnel et équilibre des lieux de vie ?

 

Tout est énergie, tout est fréquence. Vous vibrez, votre environnement émet également des vibrations. L’objectif c’est de créer une symphonie harmonieuse entre nos fréquences et celles de nos lieux de vie. Par conséquent nos produits rééquilibrent, nettoient les énergies de nos espaces afin d’augmenter notre fréquence, se sentir plus léger …

Vous avez choisi le mot Hozho, qui signifie « harmonie » en navajo. Pourquoi cette référence amérindienne, et comment influence-t-elle votre vision du soin et du sacré ?

Depuis toute petite, je suis attirée par cette culture amérindienne, rationnellement je ne l’explique pas … mais ce que je sais c’est que je suis profondément attachée à l’héritage de peuples anciens. Leur connaissance de la nature était infinie, cette connexion avec elle rendait le monde meilleur … Avec HOZHO, je leur rends hommage et j’essaye de récréer ce lien sacré avec la nature

Quels rituels recommandez-vous pour intégrer les produits HOZHO dans une routine quotidienne ou saisonnière ? Peut-on vraiment changer l’énergie de son intérieur avec une bougie ?

Je recommande chaque jour, de prendre soin de sa maison, tel que nous prenons soin de nous. Il faut la purifier chaque matin :

Ouvrir les fenêtres puis après les avoir fermées

Pulvériser notre gamme Purificatrice dans les pièces sociales) et les gammes Harmonisantes ou Protectrices dans les chambres.

Mettez des végétaux dans vos pièces de vie, entretenez les. 

Après votre journée, rentrez chez vous : c’est un peu revenir dans votre sanctuaire. Il faut que vous relâchiez la pression : allumez une Flamme HOZHO suivant le mood dans lequel vous désirez être : apaisée avec la Flamme Harmonisante, réconfortée avec la Flamme Protectrice, redynamisée avec la Flamme Vitalisante.

Quand nos soins sont diffusés par la bougie, le spray ou le diffuseur, il y a une action chimique qui se produit : cela change la vibration moléculaire de chaque particule. Ainsi il y a une transformation vibratoire de votre espace de vie

Vous travaillez avec une parfumeuse-énergéticienne pour formuler vos produits. Comment se passe la création d’un parfum qui soigne, au-delà du simple plaisir olfactif ?

En effet, nos produits sont confectionnés par une femme exceptionnelle dans le Pays basque. La création d’un de nos soins est l’aboutissement de nombreux échanges entre nous, un jeu à quatre mains. Pour chaque création, il y a toujours un objectif énergétique et une ligne olfactive à respecter. La plupart du temps, j’ai un choix final à réaliser sur une vingtaine de propositions.

En tant que femme entrepreneure de 50 ans, quel message souhaitez-vous transmettre à celles qui hésitent encore à se lancer dans une aventure créative ou entrepreneuriale à la cinquantaine ?

Je citerai l’expression que j’affectionne beaucoup : « Il vaut mieux avoir des remords que des regrets ». A 50 ans, tout est encore possible, il faut prendre des risques, agir. L’envie créative ne doit jamais être refoulée, elle doit s’exprimer inévitablement.

 

 

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